Mise à jour : 24 janvier 2009
 
 
 
 

 

Omnium des libertés

VERCORS, DÉCEMBRE 1995, 16 MORTS
Du faux suicide collectif au véritable meurtre politico-mafieux commandité au plus haut niveau de l'État Français et couvert par le silence des autorités gouvernementales et judiciaires.

    Le rapport parlementaire de juin 99, intitulé Les Sectes et l'Argent, rédigé par les députés GUYARD et BRARD, tout comme le précédent rapport des députés GEST et GUYARD en 95, sert de base pseudojuridique à des persécutions chaque jour plus nombreuses de près de 200 associations et environ 300 000 citoyens français, accusés de ne pas penser ou se comporter en conformité avec la pensée unique. Les enfants  des écoles Steiner subissent des fouilles de leurs cartables scolaires par des inspecteurs de l'Éducation Nationale déguisés en flics de la normalité  pédagogique, quand des responsables d'organismes de formation  parfaitement respectables et reconnus pour leur professionnalisme sont traînés dans la boue d'injures et de diffamations gratuites  véhiculées par  ce  label infamant de "secte".


Les rapports parlementaires justifient la "chasse aux sectes" par le caractère dangereux de certaines associations.


Cet argument du caractère dangereux  des sectes, qui conduit par exemple Mme Élisabeth GUIGOU, Ministre de la Justice du Gouvernement JOSPIN, à parler à la radio (France-Inter, janvier 2000) des "terroristes et des sectes..." repose sur un événement  précis, datant de décembre 95 : le "suicide collectif"  de l'Ordre  du Temple Solaire, ayant causé la mort de 16 personnes, dont 3 enfants.
Or, l'enquête que nous avons menée sur cette affaire, parallèlement  à l'instruction judiciaire, fait apparaître une nouvelle lecture de cet événement qui nous a conduit à déposer une requête auprès de la Cour Européenne des Droits de l'Homme. Le présent document en constitue un extrait destiné au plus large public.


En effet,  nous avons été convaincus par un ensemble de faits probants et de témoignages qui seront mis à disposition de la justice le moment venu, des conclusions suivantes.


1. Le "suicide  collectif'  de l'Ordre  du Temple Solaire (16 personnes retrouvées mortes le 23 décembre 95 dans un site isolé du. Vercors) est en réalité un meurtre politico-mafleux dont l'enjeu  est le contrôle de flux financiers considérables et illicites destinés à un parti politique français.


2. L'expert judiciaire français, rémunéré tant par le gouvernement JUPPÉ  que par  l'actuel gouvernement, le médecin  psychiatre  Jean-Marie ABGRALL, a présenté ce massacre comme un  "suicide  collectif' précisément  pour cacher  la  réalité  d'un meurtre prémédité et parfaitement organisé par des commanditaires politiques du plus haut niveau  de responsabilité  dans l'État Français.


3. Des réseaux occultes d'acteurs politiques, membres de diverses  sociétés  ésotériques, elles-mêmes  très  directement  impliquées dans l'appareil étatique français (Parlement, Gouvernement, Justice) font tout ce qui est en leur pouvoir depuis 4 ans pour étouffer cette affaire et empêcher que la vérité soit mise à jour.


4. La justice française, représentée notamment par le juge FONTAINE de Grenoble, a mis en oeuvre une gestion de ce dossier aboutissant à une clôture récente et à la mise en examen de deux personnes en réalité assez peu concernées, aux fins de protéger des personnages beaucoup plus importants.


5. M. Raymond BERNARD, ancien "grand maître" de l'AMORC, de l'Ordre Rénové du Temple, du CIRCES, membre  de la loge maçonnique  OPÉRA, ami et conseiller  de plusieurs Chefs d'État Africains, proche de M. Charles   PASQUA,  est  lui-même   très directement impliqué dans l'organisation de ce meurtre.


6. Le meurtre des 16 membres de l'OTS en décembre 95 avait essentiellement  pour but de permettre  à certains  personnages  de récupérer le contrôle de sommes d'argent considérables  transitant  notamment   par certains états africains et des compagnies pétrolières de ces mêmes pays et ce dans le but  d'alimenter   des   caisses   occultes susceptibles  de  financer  les  campagnes électorales du RPR.


7. Un certain nombre des auteurs du rapport parlementaire Les Sectes et l'Argent, membres de certaines sociétés ésotériques françaises, ne peuvent pas ignorer la réalité du meurtre collectif des membres de l'OTS, ni la réalité des commanditaires ; nous avons donc toutes les raisons de les considérer comme complices actifs de ce meurtre ;


8. Un certain  nombre  de membres  de l'actuel gouvernement français et de hauts fonctionnaires, notamment des Ministères de la Justice, de l'Intérieur et de la Défense, connaissent parfaitement les données de ce dossier et s'emploient activement à masquer la réalité des faits et des responsabilités, en s'abritant derrière de faux experts complices des meurtriers,  comme  Messieurs  CHAUMEIL  et ABGRALL.


Nous exposons ci-dessous un certain nombre de faits et de données issus de différents témoignages, qui viennent compléter  l'exposé partiel de ce dossier développé par plusieurs articles parus dans le quotidien LE MONDE en décembre 99. Il n'est pas difficile de comprendre que le journaliste auteur de ces  articles,  M.  Philippe  BROUSSARD,  en cohérence avec la culture médiatique française, n'a bien évidemment pu révéler qu'une partie des informations dont il dispose. C'est pourquoi nous les complétons ici par nos propres résultats d'enquête.


Les conclusions  auxquelles  nous sommes arrivés et les faits sur lesquels elles reposent justifient que nous demandions à la Cour Européenne des Droits de l'Homme de nommer dans les meilleurs délais une commission  d'enquête  internationale  strictement indépendante des institutions étatiques françaises (législatives, exécutives et judiciaires) et des  réseaux  des sociétés  ésotériques, notamment maçonniques, tant françaises qu'européennes ; et ce compte tenu des graves soupçons qui pèsent sur les acteurs des trois pouvoirs français qui sont dans les faits rendus totalement dépendants les uns des autres par les jeux subtils de réseaux occultes de membres d'organisations diverses, notamment  rosicruciennes, templières et  maçonniques, comme  le procureur français  Éric  de MONTGOLFIER, procureur au TGI de Nice, l'a récemment  dénoncé  publiquement (Journal  Le Monde,  16  octobre  99)  et  comme  quantité d'affaires étouffées par la justice le démontre.


Outre les faits et données révélés par le journaliste du Monde em décembre 99,  il est  aisément démontrable, au travers de divers documents et témoignages qu'une instruction judiciaire réellement indépendante des sociétés ésotériques impliquées dans ce dossier pourra mettre en évidence, que :


1. M. VUARNET, parent de deux des victimes du meurtre de Décembre 95, a porté plainte contre le Dr ABGRALL, pour fausse expertise


·2. M. Bernard NICOLAS, journaliste à TFI, auteur d'émissions sur les sectes et du livre Les Chevaliers de la Mort (éditions TFI), accorde un soutien sans faille au Dr ABGRALL depuis plusieurs années et cherche à le protéger de toute  poursuite, en défendant lui-même la théorie du Dr ABGRALL sur le suicide des sectes;


.3.  le  Dr  ABGRALL  et  M.  Raymond BERNARD sont membres de la loge OPÉRA; cette loge est actuellement dirigée par un ancien conseiller régional du RPR


.4. M. Raymond BERNARD a fait bénéficier depuis   plusieurs   décennies    hommes politiques français et chefs d'état africains des effets supposés de différentes techniques ésotériques,   notamment    celle   nommée Médifocus, aux fins de les aider dans leurs projets politiques, électoraux et financiers ; M. Raymond BERNARD a bénéficié pendant des années de versements de dizaines de millions de francs émanant de sociétés pétrolières et de gouvernements africains (Cameroun, Côte d'Ivoire, Gabon etc)


.5. M. Raymond BERNARD est en relation avec M. Charles PASQUA depuis de très nombreuses années


·6. M. Charles PASQUA (commerçant puis homme politique français né le 18 avril 1927 àGrasse - 06), à l'époque où il était cadre dirigeant de la société Ricard, a supervisé l'installation au Maroc de plusieurs  laboratoires de transformation  de cocaïne,  comme  l'atteste  la déposition devant une commission du Congrès américain de M. BOUREQUAT, actuellement bénéficiaire de l'asile politique aux États-Unis après avoir dénoncé ces faits et avoir été menacé de mort tant par la DST que par M. Charles PASQUA lui-même pendant la période récente où celui-ci était Ministre d'Etat, Ministre de l'lnténeur et de l'Aménagement du Territoire (1993 /1995) - voir l'audition de M. BOUREQUAT  parue  dans  le journal  Réseau Voltaire du 24 juin 99


.7. M. Alain VIVIEN, lourdement impliqué dans les affaires de financement occulte du Parti  Socialiste,  actuel  dirigeant  de  la Mission Interministérielle de Lutte contre les Sectes placée auprès du Premier Ministre, franc-maçon notoire, ne peut pas ignorer les faits  exposés  ici  et doit  lui-même  être considéré  comme  un  des  complices  du meurtre collectif du Vercors
·8.  M.  Raymond  BERNARD  connaissait parfaitement M. DI MAMBRO, co-dirigeant de l'Ordre du Temple Solaire, celui-ci ayant été membre de l'AMORC (Ordre Rosicrucien dont M. Raymond BERNARD fut le dirigeant avant de laisser sa place à son fils, suite à un scandale financier interne à l'AMORC) ; M. DI MAMBRO fut ensuite membre de l'Ordre Rénové du Temple (une des nombreuses sociétés ésotériques plus ou moins occultes fondées et dirigées par M. Raymond BERNARD) avant de créer  un Ordre concurrent, l'Ordre du Temple Solaire


9. l'Ordre du Temple Solaire était devenu une plaque tournante de transferts d'argent sale et M.. Dl MAMBRO cherchait à en tirer un profit strictement personnel ; M. DI MAMBRO était ainsi devenu un concurrent dangereux pour M. Raymond BERNARD et notamment pour le contrôle des flux financiers France-Afrique-France   gérés  par   M.   Raymond BERNARD pour son propre compte et le compte de ses amis politiques


·10. toutes les personnes assassinées dans le Vercors avaient été membres de l'AMORC, une grande part d'entre elles étant des transfuges de l'Ordre Rénové du Temple, sachant que le Dr ABGRALL, expert  judiciaire  officiel  sur l'OTS, a été lui-même membre pendant 19 ans de l'AMORC (de 70 à 89), puis membre de l'ORT, ordre concurrent de l'OTS


·11. l'instruction judiciaire a montré récemment de façon certaine que 14 des personnes tuées l'ont été par un membre de la Police Nationale, Mr Jean-Pierre LAR-DANCHET et par un architecte, André FRIEDLI, qui se seraient eux-mêmes ensuite donné la mort, ce que rien ne vient démontrer par ailleurs


·12. plusieurs témoins pourront confirmer les  nombreux  rendez-vous  de  Mr LARDANCIIET,
assassin  de 14 personnes,  au Ministère de l'Intérieur, les semaines précédent le meurtre, alors qu'il n'était qu'un simple policier de la région de Chambéry qui n'avait pas de raison officielle de rencontrer plusieurs fois de suite les hauts fonctionnaires du Ministère de l'Intérieur, dont on ne peut ignorer les liens avec Mr Charles PASQUA, y compris aux époques où celui-ci n'est plus Ministre de l'Intérieur


·13. un certain nombre de militaires et de policiers de haut rang ont été membres de l'OTS (ou encore d'autres obédiences du même genre) ; il est indéniable qu'il existe une complicité active entre certains groupes de fonctionnaires d'État, dans la mouvance de différents services secrets, par ailleurs incontrôlables et incontrôlés par le pouvoir politique, et des organisations mafieuses qui se cachent sous les oripeaux et le folklore d'ordres templiers ou maçonniques ; que la logistique même du meurtre du Vercors nécessitait les moyens spécifiques d'une organisation militaro-policière ;


14. M. Chartes PASQUA lui-même  était présent à Annemasse, c'est-à-dire à proximité du lieu du crime de décembre 95, quelques jours avant le déroulement du drame


15. M. DI MAMBRO, quelques heures après le meurtre collectif de Cheiry (Suisse, octobre 94) a écrit peu de temps avant sa disparition (M. DI MAMBRO est mort dans le second massacre de Salvan en octobre 94 ou a fui l'Europe) : "Nous vous accusons, M. PASQUA, d'avoir prémédité un  assassinat  collectif",  niant  ainsi  très clairement  l'hypothèse  du suicide collectif  et accusant ainsi M. PASQUA comme un des principaux  commanditaires   du  meurtre collectif du Vercors qui a suivi les drames qui se sont déroulés en Suisse en 94


16.  M.  DI  MAMBRO,  écrivant  cette accusation, envoyait aussi par la poste à M. PASQUA les faux passeports  que celui-ci avait procurés à M. DI MAMBRO et à sa femme,  pour leur faciliter  leurs  voyages autour du globe pour transporter des fonds occultes provenant d'activités mafieuses


17. les cas présentés ces dernières années de "suicides  de sectes", à  savoir  les  drames américains de Guyana en 79 (900 morts) et celui de Waco, se sont depuis avérés - de l'aveu même du FBI en septembre dernier - tous deux être le résultat d'opérations militaro-policières, impliquant les services de l'état américain dans des manipulations multidimensionnelles qui doivent être situées dans un climat de politique intérieure et extérieure de type paranoïaque;


18. la thèse du suicide collectif, largement vendue à la presse par le Dr ABGRALL, qui s'est trouvé précisément sur les lieux du crime dès les premières heures de la découverte du drame, puisqu'il était depuis plusieurs jours déjà dans sa maison d'Autrans située à quelques kilomètres du lieu  du  crime,  est   à  l'évidence   une manipulation des médias et de l'opinion publique, dans le but de cacher la réalité d'un règlement de comptes entre des bandes de gangsters rivales


19. le Dr ABGRALL, expert officiel  en sectes, ne peut prétendre sérieusement  défendre cette thèse qui sert aujourd'hui à diffamer des dizaines d'associations françaises ésotériques, philosophiques, religieuses, spirituelles, lui qui a effectué son service militaire dans les services secrets de l'armée française, en y faisant une thèse médicale sur l'entraînement des plongeurs, lui qui a procédé il y a quelques années  à une infiltration  du mouvement politique  des Verts, pour en exclure  les médecins militants sincères des médecines alternatives, lui qui a fait ou fait encore partie de quantité de groupes ésotériques et, notamment, de la loge OPÉRA tant impliquée dans cette affaire


·20. il est enfin étrange de constater que le Dr ABGRALL, qui demeure habituellement à Toulon où il exerce comme médecin psychiatre (avec, à la clé, quelques suicides de patients, bien réels ceux-là...),  est  aussi  propriétaire  de  deux maisons,  l'une  à  Autrans,  c'est-à-dire  à quelques kilomètres de Saint-Pierre de Chérennes, lieu du crime de décembre 95 et l'autre à Vitry-le-François, qui serait, selon ses propres déclarations, "une zone de repli pour certains membres de  l'Ordre du Temple Solaire" (Interview à l'Union de Reims, 20.8.97);


·21. M. DI MAMBRO, porteur de valises, a voulu détourner à son profit des fonds gérés par d'autres : il est devenu à un moment indispensable  de  l'éliminer,  lui  et  son organisation,  en  faisant  porter  la  responsabilité de ce massacre sur "la folie des sectes" pour mieux cacher la réalité d'une mafia criminelle ; cette mafia est structurée autour  de  certaines  loges  maçonniques  et organisations templières, à la croisée des chemins des vieux réseaux GLADIO installés à la fin de la dernière guerre par la CIA dans différents pays d'Europe, du SAC, la police parallèle gaulliste dissoute en 82 après le massacre d'Auriol et dirigée par M. PASQUA, et des systèmes de transferts d'argent d'origine criminelle ou pétrolière destinés àalimenter les caisses occultes de partis politiques et notamment du RPR (voir dossier du Point sur la France Templière, n0 1373 du 9 janvier 99);


·22. la diabolisation  des "sectes", qui se traduit notamment  par la publication  de rapports   parlementaires   successifs   en complète violation avec la Déclaration  de Sauvegarde des Droits de l'Homme, entraîne des actes discriminatoires et diffamants dont sont victimes plus de deux cents associations le plus souvent bien naïves et innocentes et plusieurs milliers de citoyens français ; cette diabolisation  est  consciemment  et volontairement mise en oeuvre par des réseaux occultes organisés par quelques dirigeants de certaines loges maçonniques et ordres templiers, dans le but précisément de cacher par tous  les  moyens  possibles  leur  propres pratiques mafieuses et criminelles.

Commentaires et conclusions


Il est de notoriété publique aujourd'hui en France que  les  membres  des  sociétés  ésotériques, templières, rosicruciennes, maçonniques ou autres appliquent comme critère supérieur à tout autre la solidarité entre  leurs membres.  Ce très  beau principe universel de solidarité entre les hommes est dans la réalité totalement dévoyé par les élites de certaines organisations qui se servent de ce principe pour couvrir les malversations et crimes les uns des autres, au mépris le plus absolu des lois ordinaires qui fondent l'État de Droit et tout en trompant leurs "adhérents de base" sur la réalité du fonctionnement  de  ces  groupes  mafieux  qui détournent des traditions philosophiques à leur profit.
Ainsi, l'ensemble de la classe politique française actuelle est à ce jour entièrement gangrenée par des réseaux occultes de membres de sociétés ésotériques qui gèrent les trois pouvoirs, législatif, exécutif et judiciaire comme un seul, en faisant passer leurs intérêts claniques avant ceux de l'Etat de Droit.
Cette réalité, admise à ce jour par un nombre chaque jour plus important  de sociologues, de juristes, de journalistes honnêtes et indépendants et d'observateurs de la vie politique transforme l'État Français en État mafieux qui échappe  à tout contrôle  démocratique,  puisque  la justice  est inféodée au pouvoir exécutif, lui-même géré de façon illicite par ces groupes occultes.


Dans cette perspective, les rapports parlementaires successifs contre les sectes servent avant tout à cacher les activités mafieuses de sociétés occultes qui pourraient être précisément décrites dans les mêmes termes que ceux utilisés par les auteurs des rapports pour décrire "les sectes". Il est à cet égard instructif de relever que les organisations dirigées par M. Raymond BERNARD n'ont jamais été citées dans les rapports parlementaires sur les sectes, pas plus que les loges maçonniques, alors que ces groupes présentent de fait des dérives bien plus dangereuses que ce que l'on pourrait être fondé à reprocher à certaines associations dénoncées par les rapports.

Christian Cotten
psychosociologue, psychothérapeute, cogérant de la société Stratégique
Président du Réseau Européen pour une Politique de Vie

Christian Cotten
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